La polyneuropathie héréditaire du Greyhound est une maladie qui touche les cellules nerveuses constituant les nerfs qui parcourent le corps.
Cette maladie est retrouvée uniquement chez le Greyhound.
Les symptômes apparaissent avant l'âge de un an. Initialement, les animaux atteints présentent des difficultés locomotrices modérées ainsi qu'une intolérance à l'effort.
Les symptômes s'aggravent avec le temps et on observe une diminution de la masse musculaire des membres. Après un effort trop important l'animal atteint peut se mettre à trembler puis peut s'effondrer. Dans certains cas, les animaux peuvent présenter des difficultés respiratoires.
Le pronostic de cette maladie est mauvais : du fait de l'absence de traitement, les animaux atteints ne vivent en général pas plus de 10 mois après l'apparition des symptômes. Il existe un test génétique.
Cette maladie est retrouvée uniquement chez le Greyhound.
Les symptômes apparaissent avant l'âge de un an. Initialement, les animaux atteints présentent des difficultés locomotrices modérées ainsi qu'une intolérance à l'effort.
Les symptômes s'aggravent avec le temps et on observe une diminution de la masse musculaire des membres. Après un effort trop important l'animal atteint peut se mettre à trembler puis peut s'effondrer. Dans certains cas, les animaux peuvent présenter des difficultés respiratoires.
Le pronostic de cette maladie est mauvais : du fait de l'absence de traitement, les animaux atteints ne vivent en général pas plus de 10 mois après l'apparition des symptômes. Il existe un test génétique.
Les polyneuropathies héréditaire et idiopathique des Malamutes d'Alaska sont deux maladies très proches au niveau des symptômes et qui sont dues à la dégénérescence des cellules nerveuses composant les différents nerfs reliant la moelle épinière à l'ensemble du corps.
Ces maladies sont retrouvées chez les Malamutes d'Alaska.
Les symptômes apparaissent entre l'âge de 1 et 2 ans. Dans les deux cas on observe chez les animaux atteints de la faiblesse, des troubles de l'équilibre, une démarche en saut de lapin (mobilisation simultanée des deux membres postérieurs lors de la course), une intolérance à l'effort, des syncopes et une diminution de la masse musculaire.
Dans le cas de la polyneuropathie héréditaire, on observe aussi très fréquemment de la toux, des difficultés respiratoires, des vomissements et une modification de la voix.
L'évolution est parfois favorable dans le cas de la polyneuropathie héréditaire alors qu'elle est toujours mauvaise dans le cas de polyneuropathie idiopathique.
Il n’y a pas de traitement, mais il existe un test génétique.
Ces maladies sont retrouvées chez les Malamutes d'Alaska.
Les symptômes apparaissent entre l'âge de 1 et 2 ans. Dans les deux cas on observe chez les animaux atteints de la faiblesse, des troubles de l'équilibre, une démarche en saut de lapin (mobilisation simultanée des deux membres postérieurs lors de la course), une intolérance à l'effort, des syncopes et une diminution de la masse musculaire.
Dans le cas de la polyneuropathie héréditaire, on observe aussi très fréquemment de la toux, des difficultés respiratoires, des vomissements et une modification de la voix.
L'évolution est parfois favorable dans le cas de la polyneuropathie héréditaire alors qu'elle est toujours mauvaise dans le cas de polyneuropathie idiopathique.
Il n’y a pas de traitement, mais il existe un test génétique.
La surdité neurosensorielle congénitale est une maladie due au dysfonctionnement et à la dégradation de structures nerveuses au sein de l'oreille.
Cette maladie est retrouvée chez 80 races de chiens, mais certaines races semblent être prédisposées comme le Doberman, le Pointer, le Dalmatien, l'Australian Stumpy Tail Cattle Dog, le Bouvier Australien, le Bull Terrier, le Setter Anglais, le Cocker Anglais, le Border Collie, le Dogue Argentin…
Les symptômes apparaissent dès les premières semaines de vie, mais peuvent être parfois difficile à mettre en évidence.
Les chiots peuvent être sourds d'une ou des deux oreilles. Les symptômes se manifestent essentiellement par des troubles du comportement liés à la surdité.
C'est une maladie qui n'évolue pas avec le temps et dont le pronostic est très bon malgré l'absence de traitement. En effet, les animaux atteints peuvent faire de très bons animaux de compagnie.
Cette maladie est retrouvée chez 80 races de chiens, mais certaines races semblent être prédisposées comme le Doberman, le Pointer, le Dalmatien, l'Australian Stumpy Tail Cattle Dog, le Bouvier Australien, le Bull Terrier, le Setter Anglais, le Cocker Anglais, le Border Collie, le Dogue Argentin…
Les symptômes apparaissent dès les premières semaines de vie, mais peuvent être parfois difficile à mettre en évidence.
Les chiots peuvent être sourds d'une ou des deux oreilles. Les symptômes se manifestent essentiellement par des troubles du comportement liés à la surdité.
C'est une maladie qui n'évolue pas avec le temps et dont le pronostic est très bon malgré l'absence de traitement. En effet, les animaux atteints peuvent faire de très bons animaux de compagnie.
L'épilepsie essentielle, aussi appelée épilepsie primaire, est une maladie du cerveau se caractérisant par des crises convulsives. On parle d'épilepsie essentielle lorsqu'on ne peut pas mettre en évidence de cause à l'apparition de ces crises convulsives.
Un très grand nombre de races semblent prédisposées à cette maladie : Beagle, Berger Allemand, Berger Belge (type Tervueren, Groenendael), Berger des Shetland, Border Collie, Bouvier Bernois, Boxer, Bull Terrier, Cane Corso, Caniche, Cavalier King Charles, Cocker Américain, Colley, Dogue Argentin, Dogue de Bordeaux, Dogue du Tibet, English Springer Spaniel, Fox terrier à poils lisses, Golden Retriever, Grand Bouvier Suisse, Husky, Keeshond, Labrador Retriever, Lagotto Romagnolo, Lévrier Irlandais (Irish Wolfhound), Mastiff, Saint Bernard, Schnauzer miniature, Setter Irlandais, Spitz Finlandais, Spitz Loup, Teckel, Vizsla.
Mais cette maladie peut se développer chez un chien de n'importe quelle race pure ou croisée.
Les premières crises lors d'épilepsie essentielle apparaissent le plus souvent entre l'âge de 6 mois et 5 ans, mais les premières crises peuvent passer inaperçues et les animaux peuvent être présentés à leur vétérinaire après l'âge de 6 ans.
Les crises convulsives en elles mêmes peuvent être de nature très variées : elles peuvent être généralisées avec dans le cas le plus classique un animal qui tombe sur le côté, inconscient et qui présente des mouvements de pédalage ou bien être partielle, sans perte de conscience.
La fréquence des crises est variable d'un individu à l'autre. Le pronostic pour cette maladie est variable en fonction de la fréquence, de la gravité des crises et de la réponse au traitement qui est fonction des races.
Le traitement est possible et il est médical. Dans un cas particulier, chez le Lagotto Romagnolo, il existe un test génétique.
Un très grand nombre de races semblent prédisposées à cette maladie : Beagle, Berger Allemand, Berger Belge (type Tervueren, Groenendael), Berger des Shetland, Border Collie, Bouvier Bernois, Boxer, Bull Terrier, Cane Corso, Caniche, Cavalier King Charles, Cocker Américain, Colley, Dogue Argentin, Dogue de Bordeaux, Dogue du Tibet, English Springer Spaniel, Fox terrier à poils lisses, Golden Retriever, Grand Bouvier Suisse, Husky, Keeshond, Labrador Retriever, Lagotto Romagnolo, Lévrier Irlandais (Irish Wolfhound), Mastiff, Saint Bernard, Schnauzer miniature, Setter Irlandais, Spitz Finlandais, Spitz Loup, Teckel, Vizsla.
Mais cette maladie peut se développer chez un chien de n'importe quelle race pure ou croisée.
Les premières crises lors d'épilepsie essentielle apparaissent le plus souvent entre l'âge de 6 mois et 5 ans, mais les premières crises peuvent passer inaperçues et les animaux peuvent être présentés à leur vétérinaire après l'âge de 6 ans.
Les crises convulsives en elles mêmes peuvent être de nature très variées : elles peuvent être généralisées avec dans le cas le plus classique un animal qui tombe sur le côté, inconscient et qui présente des mouvements de pédalage ou bien être partielle, sans perte de conscience.
La fréquence des crises est variable d'un individu à l'autre. Le pronostic pour cette maladie est variable en fonction de la fréquence, de la gravité des crises et de la réponse au traitement qui est fonction des races.
Le traitement est possible et il est médical. Dans un cas particulier, chez le Lagotto Romagnolo, il existe un test génétique.