L'encéphalopathie nécrosante subaigüe est une maladie responsable d'une destruction progressive de l'encéphale.
Cette maladie est similaire au syndrome de Leigh retrouvé chez l'Homme. On la retrouve en particulier chez le Husky, le Bouvier Australien, l'American Staffordshire Bull Terrier et le Yorkshire.
Les symptômes apparaissent de façon assez brutale, en général au cours de la première année de vie.
On observe le plus souvent des crises d'épilepsie et des troubles de l'équilibre.
On peut aussi mettre en évidence un nystagmus (mouvement d'oscillation involontaire et saccadé du globe oculaire), un strabisme, des difficultés à manger, des tremblements de la tête et une faiblesse des quatre membres.
Les symptômes s'aggravent rapidement et conduisent à la mort en quelques mois.
Le pronostic de cette maladie est mauvais d'autant plus qu'il n'existe pas de traitement. Il existe cependant un test génétique.
Cette maladie est similaire au syndrome de Leigh retrouvé chez l'Homme. On la retrouve en particulier chez le Husky, le Bouvier Australien, l'American Staffordshire Bull Terrier et le Yorkshire.
Les symptômes apparaissent de façon assez brutale, en général au cours de la première année de vie.
On observe le plus souvent des crises d'épilepsie et des troubles de l'équilibre.
On peut aussi mettre en évidence un nystagmus (mouvement d'oscillation involontaire et saccadé du globe oculaire), un strabisme, des difficultés à manger, des tremblements de la tête et une faiblesse des quatre membres.
Les symptômes s'aggravent rapidement et conduisent à la mort en quelques mois.
Le pronostic de cette maladie est mauvais d'autant plus qu'il n'existe pas de traitement. Il existe cependant un test génétique.
La leuco-encéphalite nécrosante est une maladie inflammatoire du cerveau.
Elle est retrouvée en général chez les races de chiens de petites tailles et en particulier chez le Yorkshire.
Les symptômes apparaissent chez le jeune adulte, en moyenne vers l'âge de 4,5 ans.
On observe des crises d'épilepsie, des troubles du comportement (l'animal semble très abattu, il marche en faisant des cercles…), des troubles de l'équilibre et un nystagmus (mouvement d'oscillation involontaire et saccadé du globe oculaire).
Les symptômes s'aggravent sur plusieurs mois et conduisent à la mort de l'animal.
Le pronostic est sévère, car les animaux répondent en général assez mal au traitement médical qui peut être mis en place.
Elle est retrouvée en général chez les races de chiens de petites tailles et en particulier chez le Yorkshire.
Les symptômes apparaissent chez le jeune adulte, en moyenne vers l'âge de 4,5 ans.
On observe des crises d'épilepsie, des troubles du comportement (l'animal semble très abattu, il marche en faisant des cercles…), des troubles de l'équilibre et un nystagmus (mouvement d'oscillation involontaire et saccadé du globe oculaire).
Les symptômes s'aggravent sur plusieurs mois et conduisent à la mort de l'animal.
Le pronostic est sévère, car les animaux répondent en général assez mal au traitement médical qui peut être mis en place.
Les méninges sont les membranes qui enveloppent le cerveau et la moelle épinière.
Le syndrome méningite-artérite répondant à l'administration de corticoïde est une maladie correspondant à une inflammation de ces méninges qui guérit par administration de corticoïde sur une longue période.
On peut retrouver cette maladie chez toutes les races de chiens mais le Beagle, le Boxer, le Bouvier Bernois, le Braque de Weimar et le Nova Scotia Duck Tolling Retriever (retriever de la Nouvelle Ecosse) semblent prédisposés.
Les symptômes peuvent apparaître aussi bien chez le jeune que chez l'adulte. Ils se manifestent par une démarche raide, une réticence à se déplacer et de la fièvre.
Le pronostic est en général bon si les animaux sont traités précocement.
Le syndrome méningite-artérite répondant à l'administration de corticoïde est une maladie correspondant à une inflammation de ces méninges qui guérit par administration de corticoïde sur une longue période.
On peut retrouver cette maladie chez toutes les races de chiens mais le Beagle, le Boxer, le Bouvier Bernois, le Braque de Weimar et le Nova Scotia Duck Tolling Retriever (retriever de la Nouvelle Ecosse) semblent prédisposés.
Les symptômes peuvent apparaître aussi bien chez le jeune que chez l'adulte. Ils se manifestent par une démarche raide, une réticence à se déplacer et de la fièvre.
Le pronostic est en général bon si les animaux sont traités précocement.
Le syndrome de tremblements répondant à l’administration de corticoïdes est une maladie qui se retrouve surtout chez les chiens de petites races comme le Bichons Maltais, le West Highland White Terrier, le Shih-Tzu, le Beagle, le Yorkshire, l’Australian Silky Terrier et le Pinscher miniature.
Les symptômes apparaissent en général chez le jeune adulte de moins de 5 ans. Les symptômes d’appels se manifestent par des tremblements généralisés à l’ensemble du corps. Des signes d’atteinte du cervelet peuvent aussi être observé avec des tremblements intentionnels, c'est-à-dire qui apparaitront lorsque l’animal atteint fixera son attention sur quelque chose comme boire ou manger (absents lorsque l’animal est au repos), une tête penchée sur le côté, un nystagmus (mouvement d'oscillation involontaire et saccadé du globe oculaire), des troubles de l’équilibre et des chutes.
Enfin, des crises d’épilepsie peuvent être observées. Les symptômes s’aggravent rapidement, mais le pronostic est bon si un traitement médical adéquat est mis en place.
Les symptômes apparaissent en général chez le jeune adulte de moins de 5 ans. Les symptômes d’appels se manifestent par des tremblements généralisés à l’ensemble du corps. Des signes d’atteinte du cervelet peuvent aussi être observé avec des tremblements intentionnels, c'est-à-dire qui apparaitront lorsque l’animal atteint fixera son attention sur quelque chose comme boire ou manger (absents lorsque l’animal est au repos), une tête penchée sur le côté, un nystagmus (mouvement d'oscillation involontaire et saccadé du globe oculaire), des troubles de l’équilibre et des chutes.
Enfin, des crises d’épilepsie peuvent être observées. Les symptômes s’aggravent rapidement, mais le pronostic est bon si un traitement médical adéquat est mis en place.