La neuropathie hypertrophique est une maladie pour laquelle il y a perte de la myéline (gaine qui entoure les axones des nerfs périphériques et qui joue un rôle dans la conduction nerveuse).
Cette maladie est retrouvée chez le Dogue du Tibet.
Les symptômes se manifestent vers l'âge de 3-4 mois. Initialement on observe une faiblesse des membres postérieurs et des anomalies de la démarche (l'animal court comme un lapin car il mobilise simultanément ses deux postérieurs) et présente une plantigradie (il appuie sa patte sur son « pied » et non sur ses « doigts »).
En 1 à 2 semaines, les chiots atteints peuvent se retrouver incapable de tenir debout.
On observe également une diminution de la masse musculaire. Des modifications de la voix ainsi que des difficultés respiratoires peuvent également être observés.
Le pronostic est réservé car les symptômes s'aggravent et il n'existe pas de traitement.
Cette maladie est retrouvée chez le Dogue du Tibet.
Les symptômes se manifestent vers l'âge de 3-4 mois. Initialement on observe une faiblesse des membres postérieurs et des anomalies de la démarche (l'animal court comme un lapin car il mobilise simultanément ses deux postérieurs) et présente une plantigradie (il appuie sa patte sur son « pied » et non sur ses « doigts »).
En 1 à 2 semaines, les chiots atteints peuvent se retrouver incapable de tenir debout.
On observe également une diminution de la masse musculaire. Des modifications de la voix ainsi que des difficultés respiratoires peuvent également être observés.
Le pronostic est réservé car les symptômes s'aggravent et il n'existe pas de traitement.
La Paralysie Laryngée est due à l'atteinte du nerf responsable du l'innervation du larynx.
Cette maladie est retrouvée chez le Bouvier des Flandres, le Husky, le Bull Terrier, le Berger Blanc Suisse, le Labrador Retriever, le Saint Bernard, le Lévrier Afghan et le Setter Irlandais.
Les symptômes apparaissent soit chez l'animal âgé de moins de 1 an (dans le cas des formes héréditaires) soit chez l'animal âgés d'environ 7 ans (dans le cas des formes acquises d'origine inconnue).
Les symptômes se manifestent par une modification de la voix, de la toux, des régurgitations, une intolérance à l'effort, un bruit lorsque l'animal respire et des difficultés respiratoires.
Le pronostic est plutôt réservé du fait de la gravité des symptômes et de leurs conséquences. Il est possible de traiter chirurgicalement cette maladie.
Cette maladie est retrouvée chez le Bouvier des Flandres, le Husky, le Bull Terrier, le Berger Blanc Suisse, le Labrador Retriever, le Saint Bernard, le Lévrier Afghan et le Setter Irlandais.
Les symptômes apparaissent soit chez l'animal âgé de moins de 1 an (dans le cas des formes héréditaires) soit chez l'animal âgés d'environ 7 ans (dans le cas des formes acquises d'origine inconnue).
Les symptômes se manifestent par une modification de la voix, de la toux, des régurgitations, une intolérance à l'effort, un bruit lorsque l'animal respire et des difficultés respiratoires.
Le pronostic est plutôt réservé du fait de la gravité des symptômes et de leurs conséquences. Il est possible de traiter chirurgicalement cette maladie.
La polyneuropathie héréditaire du Greyhound est une maladie qui touche les cellules nerveuses constituant les nerfs qui parcourent le corps.
Cette maladie est retrouvée uniquement chez le Greyhound.
Les symptômes apparaissent avant l'âge de un an. Initialement, les animaux atteints présentent des difficultés locomotrices modérées ainsi qu'une intolérance à l'effort.
Les symptômes s'aggravent avec le temps et on observe une diminution de la masse musculaire des membres. Après un effort trop important l'animal atteint peut se mettre à trembler puis peut s'effondrer. Dans certains cas, les animaux peuvent présenter des difficultés respiratoires.
Le pronostic de cette maladie est mauvais : du fait de l'absence de traitement, les animaux atteints ne vivent en général pas plus de 10 mois après l'apparition des symptômes. Il existe un test génétique.
Cette maladie est retrouvée uniquement chez le Greyhound.
Les symptômes apparaissent avant l'âge de un an. Initialement, les animaux atteints présentent des difficultés locomotrices modérées ainsi qu'une intolérance à l'effort.
Les symptômes s'aggravent avec le temps et on observe une diminution de la masse musculaire des membres. Après un effort trop important l'animal atteint peut se mettre à trembler puis peut s'effondrer. Dans certains cas, les animaux peuvent présenter des difficultés respiratoires.
Le pronostic de cette maladie est mauvais : du fait de l'absence de traitement, les animaux atteints ne vivent en général pas plus de 10 mois après l'apparition des symptômes. Il existe un test génétique.
Les polyneuropathies héréditaire et idiopathique des Malamutes d'Alaska sont deux maladies très proches au niveau des symptômes et qui sont dues à la dégénérescence des cellules nerveuses composant les différents nerfs reliant la moelle épinière à l'ensemble du corps.
Ces maladies sont retrouvées chez les Malamutes d'Alaska.
Les symptômes apparaissent entre l'âge de 1 et 2 ans. Dans les deux cas on observe chez les animaux atteints de la faiblesse, des troubles de l'équilibre, une démarche en saut de lapin (mobilisation simultanée des deux membres postérieurs lors de la course), une intolérance à l'effort, des syncopes et une diminution de la masse musculaire.
Dans le cas de la polyneuropathie héréditaire, on observe aussi très fréquemment de la toux, des difficultés respiratoires, des vomissements et une modification de la voix.
L'évolution est parfois favorable dans le cas de la polyneuropathie héréditaire alors qu'elle est toujours mauvaise dans le cas de polyneuropathie idiopathique.
Il n’y a pas de traitement, mais il existe un test génétique.
Ces maladies sont retrouvées chez les Malamutes d'Alaska.
Les symptômes apparaissent entre l'âge de 1 et 2 ans. Dans les deux cas on observe chez les animaux atteints de la faiblesse, des troubles de l'équilibre, une démarche en saut de lapin (mobilisation simultanée des deux membres postérieurs lors de la course), une intolérance à l'effort, des syncopes et une diminution de la masse musculaire.
Dans le cas de la polyneuropathie héréditaire, on observe aussi très fréquemment de la toux, des difficultés respiratoires, des vomissements et une modification de la voix.
L'évolution est parfois favorable dans le cas de la polyneuropathie héréditaire alors qu'elle est toujours mauvaise dans le cas de polyneuropathie idiopathique.
Il n’y a pas de traitement, mais il existe un test génétique.
- ← Previous
- 1
- 2 (current)
- 3
- Next →