La myosite des muscles masticateurs est une maladie auto-immune : des anticorps sont dirigés contre les muscles servant à la mastication.
Cette maladie est retrouvée en particulier chez le Berger Allemand et le Cavalier King Charles.
Elle apparaît en général chez le jeune adulte.
Les symptômes observés sont une douleur importante (les animaux résistent lorsqu'on essaye de leur ouvrir la gueule), de la fièvre, de l'anorexie, une hypersalivation et de l'abattement.
Au départ, les muscles de la mastication apparaissent très gonflés faisant sortir un peu les yeux de leurs orbites. Ce qui peut entraîner l'apparition d'ulcère sur la cornée et donc une douleur, une conjonctivite, un larmoiement …
Dans les formes plus chroniques, les muscles de la mastication diminuent de volume et deviennent fibreux, réduisant l'angle d'ouverture de la gueule.
Un traitement médical existe, mais il doit être instauré rapidement et de façon adéquate pour éviter les rechutes observées à l'arrêt de celui-ci.
Si le traitement n'est pas assez précoce, s'il est mal conduit ou en cas de rechutes, l'animal peut décéder, car avec la progression de la maladie il devient incapable de s'alimenter.
Le pronostic pour cette maladie est en général bon si le traitement médical est donc mis en place précocement et est bien mené.
Cette maladie est retrouvée en particulier chez le Berger Allemand et le Cavalier King Charles.
Elle apparaît en général chez le jeune adulte.
Les symptômes observés sont une douleur importante (les animaux résistent lorsqu'on essaye de leur ouvrir la gueule), de la fièvre, de l'anorexie, une hypersalivation et de l'abattement.
Au départ, les muscles de la mastication apparaissent très gonflés faisant sortir un peu les yeux de leurs orbites. Ce qui peut entraîner l'apparition d'ulcère sur la cornée et donc une douleur, une conjonctivite, un larmoiement …
Dans les formes plus chroniques, les muscles de la mastication diminuent de volume et deviennent fibreux, réduisant l'angle d'ouverture de la gueule.
Un traitement médical existe, mais il doit être instauré rapidement et de façon adéquate pour éviter les rechutes observées à l'arrêt de celui-ci.
Si le traitement n'est pas assez précoce, s'il est mal conduit ou en cas de rechutes, l'animal peut décéder, car avec la progression de la maladie il devient incapable de s'alimenter.
Le pronostic pour cette maladie est en général bon si le traitement médical est donc mis en place précocement et est bien mené.